Révolution et Libertés

Rosa Luxemburg – Les guerres sont des phénomènes barbares

À propos de Pierre Le Bec

À propos de Pierre Le Bec
Temps de lecture : 2 minutes

Je suis un aide-soignant dans une maison de retraite d’un grand groupe médicalisée. Les différentes lignes que vous pouvez voir s’inscrivent nécessairement dans un long processus de travail d’une dizaine d’années. Les centaines de livres ingurgitées au fil des années commencent à produire un résultat.

Cela n’a pas qu’une seule ambition : donner des outils et des éléments d’analyses au travers de la nouvelle version de Révolution et Libertés. Je suis en effet, le rédacteur-chef de ce webzine, dont l’objectif réside comme nous l’avions eu dans une ancienne version au travers d’une citation de Jean Jaurès : “Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire“. Je crois qu’il vaut mieux entendre une vérité qui dérange, qu’un mensonge devenu la norme.

Au travers du passé, nous avons subi des campagnes de cyberharcèlement. Or, si le nom de domaine change, les valeurs propres à Révolution et Libertés restent les mêmes. Notre détermination en ressortira clairement intacte.

Je crois profondément au corpus de Rosa Luxemburg afin de pouvoir créer un changement dans la société pour l’amener vers un socialisme ouvert et à visage humain en attendant le communisme. Je pense sincèrement que la construction d’une société nouvelle égalitaire, solidaire et humaniste nécessite également la mise en place du fédéralisme intégral à tous les niveaux.

Dans un monde où l’extrême-droite gravit progressivement des échelons au travers de la banalisation via la Macronie, je défendrais toujours plus les salariés et les classes populaires.

Il est temps d’accélérer le processus démocratique en France, mais aussi de réformer de fond en comble l’Union Européenne. Cela nécessite un long processus. Au travers de ces éléments, l’idée sera de convaincre l’ensemble des forces de gauche de soutenir une véritable alternative à l’Union Européenne telle qu’elle est construite actuellement.

Chiffonnette (dit Chiff) est certainement ma plus grande source d’inspiration de ces dix dernières années au travers d’une analyse constante de la lutte des classes, les luttes sociétales et la géopolitique. Au travers d’un parcours complexe et semé d’embûches, j’ai admis un ensemble de choses. Dans ce sens, le lien entre le maître et l’animal s’est considérablement changé et a été largement modifié au fur et à mesure du temps.

L’anthropomorphisme sans cesse accusé permet de soutenir une autre trajectoire. Chiffonnette, ce n’est pas un vulgaire chat, mais c’est un membre de famille à part entier. Je conçois que l’idée majeure s’oriente en contradiction avec les thèses de Karl Marx, notamment dans son manifeste où il est considéré que la “protection animale” repose notamment sur un caractère bourgeois.